« AD ASTRA » À LA MOSTRA DE VENISE
Posté par Claudio Boaretto le 31 août 2019
De retour sur le Red Carpet pour la projection du film de James Gray « Ad astra » avec Brad Pitt, Tommy Lee Jones, Ruth Negga, Liv Tyler et Donald Sutherland…
Comme à l’accoutumée le tapis rouge débute avec les mannequins internationaux, mais contrairement à mon reportage précédent je ne chercherai pas le pedigree de ces ravissantes créatures… Cela m’a pris presque une entière journée pour l’ouverture… Il faut trouver le nom du mannequin, ensuite qui l’habille et ensuite encore trouver sa nationalité ou ses origines…Trop long, trop fastidieux, j’ai déjà donné et je suis là pour les films et le Cinéma… Du coup, j’en ai shooté que très peu…
La première capturée par mon objectif…
D’abord portrait sur pied que l’on appelle « plan moyen » dans le jargon des « fotografs »…
Ensuite « gros plan » dans le même jargon…
Voici une silhouette qui dénote…
Mais les arguments sont de poids et méritent un « plan américain »…
Pour faillir à ma nouvelle règle voici Bar Refaeli habillée par Manila Grace…
Ça ne se voit presque pas mais Bar est enceinte…
Mannequin israélien…
Toutes ses jolies starlettes sont capturées par la « steadicam » de service qui leur permet de passer en direct simultanément sur l’écran géant de la Mostra et à la télévision…
Gros plan…
Plan moyen…
Gros plan…
Plan moyen…
Gros plan, et l’on fait voler la traine…
Une petite dernière…
J’aurais dû dire une « grande » dernière…
Gros plan…
Voici enfin les protagonistes du film…
Le réalisateur new-yorkais James Gray…
Gros plan en compagnie de son épouse, Alexandra Dickson Gray…
Tommy Lee Jones et Donald Sutherland ne sont pas venus à la Mostra mais voici les 2 seconds rôles féminins :
d’abord Ruth Negga dans le rôle d’Helen Lantos…
Actrice irlando-éthiopienne…
En 2003, Ruth Negga est sélectionnée pour le prix du jeune premier (Most Promising Newcomer) aux Laurence Olivier Awards. En 2006, elle est sélectionnée pour le prix de la meilleure jeune actrice irlandaise…
Liv Tyler dans le rôle de Eve…
Actrice américaine, elle s’est fait connaître à 18 ans grâce au film Beauté volée, dans lequel elle joue le rôle de Lucy Harmon. Elle est aussi connue pour le rôle d’Arwen dans la trilogie du Seigneur des anneaux…
Celui que tout le monde attendait, le premier rôle du film…
Vous avez bien sûr reconnu Brad Pitt…
Gros plan…
Le plus difficile avec ces grands artistes sur le tapis rouge, c’est de « choper » le regard…
Je puis vous assurer qu’il dégage un charme et une présence inouïe…
Je mitraille, j’essaye de choper un sourire…
Une expression différente…
Le profil…
Incontestablement un super beau mec…
L’équipe du film…
Le film :
Synopsis…
« L’astronaute Roy McBride (Brad Pitt) s’aventure jusqu’aux confins du système solaire à la recherche de son père disparu (Tommy Lee Jones) et pour résoudre un mystère qui menace la survie de notre planète.
Lors de son voyage, il sera confronté à des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, et notre place dans l’univers. »
La critique de Louis Blanchot :
« On pensait qu’il ne verrait jamais le jour. Et pourtant : Ad Astra, le space opéra mystique fantasmé par James Gray depuis des années et montré à la Mostra de Venise, s’est bel et bien envolé vers les étoiles…Ad Astra est en effet un film halluciné, hanté, revêtant de bout en bout la consistance d’un songe d’enfant. D’un enfant plus précisément : l’astronaute Roy McBride (Brad Pitt), catapulté aux confins de notre système solaire à la recherche d’un père (Tommy Lee Jones) qui, croyait-il, avait définitivement quitté le monde des vivants…
… Alors ça veut dire quoi, être un fils, pour James Gray ? La réponse est formulée sans ambages dans Ad Astra : le fils, c’est celui qui est maudit. C’est celui qui vit dans l’ombre de l’autre tout en étant obligé d’assumer ses ambitions, ses erreurs, ses caprices…
…Malédiction de la filiation : chez Gray, les fils passent leur existence à se montrer à la hauteur des rêves des pères, avant que ces rêves ne referment progressivement leur mâchoire sur leur destin… »
Mis à part les effets spéciaux spectaculaires et les bruits assourdissants des engins spatiaux qui décollent ou atterrissent sur la lune, mars et neptune, tout le film repose sur les épaules et la prestation de Brad Pitt qui donne la preuve d’un talent hors du commun… Du début jusqu’à la fin, il est sur tous les plans… Nous n’avons pas quitté l’écran des yeux un seul instant et nous avons adoré…
Le film sort en France le 18 septembre 2019, vous ne devez pas le rater…
Revenons à la fin du tapis rouge…
C’est la première fois et peut-être la dernière que j’ai Brad Pitt dans l’objectif de mon appareil foto, alors je déclenche sans arrêt…
Nous sommes une petite centaine à shooter avec des flashs, certains si super puissants qu’ils neutralisent le mien avec de surcroît les projecteurs des trois tours lumières qui provoquent des ombres sur le visage…
Brad a levé le bras juste au moment où je déclenchais ce qui provoque une ombre supplémentaire sur le visage, je garde quand-même la « foto » pour son instantané… Il a quand-même de beaux bracelets…
Je m’essaye au « plan demi-rapproché »…
Je termine sur cette « foto » où j’ai tenté de bien capturr le regard de l’artiste…
Un chouette moment de ma vie de petit « fotograf »…
Claudio Boaretto
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